D’une part, la sauvegarde externalisée vous assure une sécurité supplémentaire en cas de sinistre majeur dans vos locaux (inondation, incendie…), mais aussi d’un éventuel vol.
D’autre part, elle vous permet de sécuriser vos données en cas d’attaque informatique de type « Ransomware » (Je vous invite à lire l’article sur les attaques de ce type si cela vous intéresse d’avantage).
En effet, lors d’une attaque de type ransomware, la sauvegarde fait partie des cibles prioritaires. Externalisée, elle vous assure une sauvegarde sécurisée sur un serveur distant. Elle se situe en dehors de votre infrastructure, ce qui vous offre une sécurité supplémentaire contrairement à une sauvegarde locale.
En outre, elle fonctionne avec un outil qui se couple avec votre système de sauvegarde généralement existant pour exporter quotidiennement une copie de vos données et ce de manière sécurisée en chiffrant le transfert de bout en bout.
La règle d’or pour les sauvegardes est dite la règle du 3-2-1. Même si le risque 0 n’existe pas. Cette bonne pratique maximisera vos chances de récupérer vos données en cas de sinistre.
La voici en détail :
3 : comme le nombre de copies d’un même fichier que vous devez posséder au minimum. Cela passe par une stratégie de rétention et d’archivage
2 : comme le nombre de supports différents sur lesquels vous devez avoir des copies de vos sauvegardes.
1 : comme le nombre de sauvegarde hors-site. C’est à ce moment précis que la sauvegarde externalisée entre en jeu.
Sachez que lors de la construction d’un PCA/PRA, l’externalisation des sauvegardes sera un bon allier !
Pour conclure, si nous devions définir ce type de sauvegarde en trois mots :
En tant que chargé d’affaires informatique au sein de OneOperateur, Julien Verdure apporte des conseils sur des solutions IT aux entreprises.